Trois fleurs sauvages ( éditions La Joie de Lire )

Ce matin, je vous présente Trois fleurs sauvages de Liniers, aux éditions La Joie de Lire

Présentation :

Lors d’une après-midi, une petite fille propose à ses deux sœurs d’imaginer qu’elles sont les seules survivantes d’un crash d’avion et qu’elles sont perdues sur une île déserte, près d’une forêt sauvage. Elles partent alors en exploration imaginaire de cette jungle. Elles découvrent tout un tas de curiosités : des fleurs exotiques, un mini-gorille et un dragon que seule la réalité peut vaincre.

Mon avis :

Un très bel album qui se présente sous forme de bd, un genre de plus en pus courant en littérature jeunesse, qui plaît bien à mes enfants.

J’ai beaucoup aimé cette histoire, surprenante 😉 qui m’a fait pensé à l’univers d’Alice au pays des merveilles. En effet, cet album nous fait vivre une aventure extraordinaire tout droit sortie de l’imaginaire des 3 petites héroïnes ! Une histoire merveilleuse comme savent si bien s’en inventer les enfants ! La nature, ici le jardin, est un fantastique terrain de jeu, propice à l’imaginaire.

Quand nous étions enfants, avec ma sœur, nous passions beaucoup de temps à jouer dehors. Que ce soit dans le jardin, mais aussi en dehors. Nous habitions la campagne, et nous avions le droit d’aller jouer autour de la maison, parfois nous nous éloignions jusqu’à une ferme abandonnée, située derrière chez nous, avec nos copines du lotissement. Que d’heures de jeux partagées, de grandes balades aussi, de découvertes de la Nature, sans adulte pour nous surveiller et nous dire quoi faire ou non. Par toutes les saisons et par tous les temps, nous aimions nous retrouver dehors, ensemble, entre enfants pour jouer.

Une vraie liberté. Liberté que je regrette de ne pas avoir offerte à mes enfants… Habitant en centre ville, il m’est difficile de leur laisser cette liberté d’aller jouer où bon leur semble sans surveillance… et de fait, ils passent bien moins de temps à l’extérieur que moi à leur âge, même si j’essaie de les emmener dehors très souvent. Ma grande qui pratique l’équitation, se retrouve souvent aux écuries sans moi, et je crois que ce goût de liberté, en compagnie des chevaux, à la ferme, lui plaît bien et j’en suis ravie.

J’aimerais aller vivre à la campagne, avec mes chiens, les chevaux, mener une vie loin de la ville. Ne pas être obligée d’y aller chaque jour, même pour le travail. Je regrette ce choix, imposé par mon « mari » de vivre en ville, d’élever des enfants en ville, cela ne correspond pas à ce que je suis, à ce que j’aime, à la vie qui me plaît. Cela me pèse, le bruit, les gens, la circulation, le manque d’espace.

*livre offert, merci aux éditions La Joie de Lire !

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